Début Mars, l’innovation est à l’honneur aux Folies Bergères pour la Journée de la Femme digitale. “Meet the future”, thème de cette 4e édition qui à vu défiler Magali Theveniault (Capgemini), Isabelle Job-Bazille (Crédit Agricole), Nathalie Kosciusko-Morizet (Députée et Conseillère de Paris), Fabienne Dulac (Orange) et bien d’autres
L’idée : Encourager l’audace et les initiatives entrepreunariales en améliorant l’image des métiers du secteur digital auprès des femmes.
Un jour important pour Oxygen. Non seulement parce que nos équipes sont composées à 90% de femmes, mais également parce que nos clients étaient sur place. Bart Willaert, Directeur Général de MasterCard en France a notamment remis le prix de la Femme Entrepreuneure Digitale de l’année.
Ce qu’on en a retenu :
Seulement 28% de femmes ont investi l’entreprise digitale, seulement 14% pour le monde des développeurs et 13% pour les écoles d’ingénieurs.
Il faut encourager les femmes à se diriger vers formations dans le secteur digitale avec une image plus inspirante et sexy des filières informatiques
Le digital est vecteur d’égalité et de parité dans l’entreprise.
Le code, la levée de fond et le marketing sont perçues comme des connaissances requises pour monter une start-up
Nous ne sommes pas encore capable de mesurer l’étendue de la révolution digitale dans l’économie
Si le digital est générateur de peur quant à la destruction d’emploi, il faut plutôt le voir comme une transformation de nos métiers qui nous permettra de nous concentrer sur l’essentiel, sur ce que seul l’homme est en mesure de faire.(Conseil, créativité, personnalisation)
40% des métiers de demain ne sont pas encore identifiés
Ce qu’on a aimé :
L’ouverture de la conférence par Pepper, le robot qui reconnaît les principales émotions humaines.
Le Bar à Bien-être : parce que la réussite passe aussi par le fait de prendre soin de soi et le Bar à Coder, parce que c’est important.
L’étude Capgemini : pour des chiffres concrets sur la situations des femmes dans le numérique
Les formats inédits et dynamiques , ainsi que des intermèdes artistiques et hypnotiques qui nous montrent comment le numérique et l’art peuvent cohabiter.
Ce qu’on a moins aimé :
Les conférences qui s’enchaînent : 4h de conférences non stop dans la matinée, c’est un peu indigeste. Bien sûr, on peut prendre l’air, mais au risque de rater une intervention importante.
Coté village du futur : on regrette le peu d’innovations digitales, et l’espace qui aurait gagné à accueillir plus de stand. Une longue file d’attente qui nécessite de faire un choix entre les ateliers et les conférences.
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