Oxygen, agence RP
Bonnes pratiques - 26 août 2013

Quand on investit dans les médias sociaux, on dit que 1€ = 3€… Mais pourquoi ?

Il est toujours complexe d’investir dans un domaine peu connu ou qu’on juge parfois sans intérêt… Mais quand ce domaine rapporte, pourquoi s’en priver ? Internet offre aujourd’hui de multiples opportunités. En voici une qui n’est pas des moindres : les médias sociaux. Gagner 3€ alors qu’on en a investit le tiers, c’est une bonne idée, non ?

On vous explique pourquoi…

Une étude nous prouve la nécessité d’être présent sur les média sociaux…

L’Internet Advertising Bureau (IAB) a réalisé une étude sur les marques de grande consommation comme Heinz, Kettle (marque de chips) et Twinings. L’idée était de constater les habitudes de consommation des clients, et surtout, ce qui les confortaient dans leurs achats. 4500 réponses ont été recueillies et elles renvoient toutes vers le même constat : l’utilisation des médias sociaux est indispensable à toute stratégie de communication.

Selon cette étude, 1€ dépensé par une marque sur les médias sociaux lui rapporte potentiellement 3,34€. En effet, 80% des consommateurs achèteraient plus fréquemment une marque après l’avoir vue sur les médias sociaux ! Explications :

Différents réseaux sociaux pour élargir le territoire de marque

Les médias sociaux permettent surtout d’établir des liens privilégiés entre utilisateurs. En ouvrant le dialogue, on transforme une simple relation transactionnelle en relation d’égal à égal. Et pour cause, dans votre fil d’actualités Facebook, les publications apparaissent de la même manière que celles de vos amis.

Au même titre qu’un internaute utilise plusieurs réseaux sociaux pour les différents usages qu’il lui apporte, une marque a intérêt à créer des espaces sur les plateformes sociales qui sont en adéquation avec les valeurs qu’elle souhaite diffuser.

Pourquoi se cantonner à une page Facebook alors que les internautes plébiscitent aussi Instagram, Pinterest ou Linkedin ? Il va sans dire que la présence sur plusieurs réseaux doit être justifiée et régulièrement animée.

On utilisera Facebook pour développer son univers avec ses valeurs, ses produits, ses succès ou encore son équipe.

Sur Twitter, on s’adressera à un public plus aguerri, en partageant ses infos, sa veille, ses nouveautés.

Sur Pinterest, on diffusera son ADN de marque par le biais de “boards” inspirationnels.

Sur Linkedin, on partagera son expertise avec d’autres professionnels.

Sur Instagram, on publiera des photos en exclu pour ses abonnés…

Derrière chaque plateforme sociale populaire, il y a un intérêt marketing pour les marques, à condition qu’elles sachent les exploiter de manière optimale.

Les média sociaux : une visibilité pour la marque, mais pas que !

Après avoir été exposé à une marque sur les média sociaux, 4 consommateurs sur 5 seraient plus disposés à acheter un produit de cette marque. Plus encore, 83% des consommateurs interrogés seraient prêt à essayer un produit de la marque.

Le cas Oasis en est un exemple éloquent. Oasis met en scène des fruits (censés être présents dans les boissons) dans des situations qui plaisent à leur cible (les 15-25 ans), et le tour est joué. Banco, Oasis est le n°1 des boissons aux fruits non gazeuses et a doublé ses ventes entre 2007 et 2012 !

Sur sa page Facebook, Oasis mise sur l’humour et utilise des personnages hauts en couleurs pour que les consommateurs puissent s’identifier.

Sur son fil Twitter, Oasis joue avec les mots, les noms des stars du moment en faisant participer ses personnages.

L’utilisation des médias sociaux permet plus d’engagement que les médias traditionnels.

Après l’étude de l’utilisation des réseaux sociaux d’Heinz, Kettle et Twinings sur une période de 8 semaines, l’IAB a constaté une augmentation de l’appréciation de ces marques : jusqu’à 22% progression pour Heinz !

Les résultats ont également révélé qu’il y avait une augmentation de 21 points de la probabilité de recommander Kettle à ses amis.

Logique après tout, sur les réseaux sociaux, la marque est à l’écoute de ses consommateurs et de son public cible. L’internaute aura plus d’estime pour une marque avec laquelle il aura interagi, et même s’il n’éprouve pas nécessairement d’affection pour cette marque, elle saura se rappeler à son inconscient au moment de choisir dans les rayons du supermarché.

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